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Oxfam-Magasins du monde

La sensibilisation lors d’un événement convivial. L'exemple des petits déjeuners Oxfam

Analyses
La sensibilisation lors d’un événement convivial. L'exemple des petits déjeuners Oxfam

Pour bon nombre d’associations souhaitant partager des messages, des valeurs, des combats, organiser un événement convivial est une bonne façon d’entrer en contact avec un large public. Cette analyse se base sur l’expérience des petits déjeuners Oxfam pour aborder deux éléments primordiaux d’un tel type d’événement : la convivialité et la sensibilisation.
Comment concilier les deux ? Oxfam-Magasins du monde n’est pas sourde, beaucoup d’organisateurs locaux déclarent : « la sensibilisation lors du petit déjeuner, ça ne marche pas », « les gens ne viennent pas pour ça » ou « nous ne sommes pas assez nombreux et c’est déjà beaucoup de boulot comme ça ». Mais Oxfam-Magasins du monde n’est pas aveugle non plus et voit, d’année en année, certaines équipes mettre en place des actions de sensibilisation -pour tous les goûts- lors de ce week-end phare de l’organisation.
À travers cette étude de cas, nous voulons inviter les organisateurs à sortir du face à face pour renforcer l’un et l’autre (convivialité et sensibilisation). Pour ce faire, nous nous arrêterons sur quelques éléments de contexte, des éclairages tant sur la sensibilisation que sur l’aspect convivial et nous terminerons par imaginer ce qui est possible de réaliser ensemble.

C’est quoi un petit déjeuner Oxfam ?

Les petits déjeuners Oxfam font figure de point culminant de la campagne menée chaque année par Oxfam-Magasins du monde au second semestre. Il s’agit d’un mode d’action récurrent[[highslide](1;1;;;)
En 2011, Oxfam-Magasins du monde soufflait les 20 bougies des petits déjeuners.
[/highslide]], un point de repère pour le mouvement[[highslide](2;2;;;)
Le mouvement de bénévoles d’Oxfam-Magasins du monde compte plus de 2400 adultes, auquel on peut également ajouter tous les élèves des JM-Oxfam et les étudiants d’Oxfam-en-Action.
[/highslide]] et les citoyens belges. 34000 personnes ont participé à l’un des 184 petits déjeuners Oxfam organisés les 12 et 13 octobre 2013.
En 2014, les objectifs des petits déjeuners sont formulés comme tel dans le manuel pratique à l’attention des organisateurs : « Le petit déjeuner permet d’expérimenter et de comprendre les alternatives qu’Oxfam-Magasins du monde développe face aux dérives de la mondialisation :

  • le commerce équitable et solidaire, avec ses partenaires du Sud. 
  • l’agriculture paysanne et le seconde main, avec ses partenaires du Sud et du Nord. 

L’objectif principal des petits déjeuners est d’offrir une expérience agréable aux participants et de les encourager à modifier leurs habitudes de consommation, de les sensibiliser à notre message et de les inviter à s’engager avec Oxfam : comme bénévole, en organisant un petit déjeuner, en distribuant nos supports, en achetant nos produits, etc. »
Les petits déjeuners sont portés par les équipes bénévoles adultes d’Oxfam-Magasins du monde et par des groupes extérieurs : un collectif de personnes regroupées autour de l’objectif des petits déjeuners ou déjà constitué au préalable, une association reconnue comme partenaire, etc. (et non une société privée)[[highslide](3;3;;;)
Dans cette analyse, pour dénommer les organisateurs de petits déjeuners (nos équipes bénévoles et les organisateurs extérieurs), nous emploierons les termes équipes ou organisateurs. Sur les 184 petits déjeuners 2013 : 77 étaient organisés par des équipes bénévoles d’Oxfam-Magasins du monde, 107 l’étaient par des groupes dits extérieurs.
[/highslide]]. Il est important que la démarche soit portée collectivement, via un groupe qui fonctionne de manière démocratique.

Pourquoi sensibiliser ?

Depuis plusieurs années, les préoccupations éthiques, sociales et écologiques montent en puissance parmi les citoyens. Il y a une conscience accrue que le modèle de production et de consommation est générateur d’injustices. Les consommateurs sont aujourd’hui de plus en plus attentifs aux comportements des entreprises et aux modes de production des produits qu’ils achètent.
Par ailleurs, les alternatives sont de plus en plus nombreuses : bio, équitable, éthique, boycott, local… Loin d’être une mode passagère, la consommation « citoyenne » s’apparente à une tendance durable. Des organisations et des collectifs de citoyens créent et diffusent ces alternatives[[highslide](4;4;;;)
Nous n’évoquerons pas ici l’indispensable plaidoyer politique réalisé par de nombreux acteurs de la société civile afin d’influencer le monde politique.
[/highslide]]. Cependant, les limites se dessinent encore clairement, les alternatives restent souvent marginales et peinent à suffisamment « déstabiliser » les acteurs dominants.
Par conséquent, le travail de sensibilisation et de mise en action (individuelle et collective) de citoyens reste plus que jamais essentiel pour renforcer l’adhésion et la participation aux alternatives existantes, et la création de nouveaux modes d’action.
« La sensibilisation se décline d’un côté par le fait d’informer, qui renvoie à une fonction purement cognitive et, de l’autre, par le fait de « rendre sensible », ou susciter l’empathie, qui renvoie à une fonction affective. Elle permet au public de découvrir non seulement une problématique mais aussi les options éthiques et politiques du « sensibilisateur » qui l’amènent à traiter de cette question et à vouloir en faire partager la préoccupation. » [[highslide](5;5;;;)
« Éducation au développement : Manuel pour accompagner les citoyens vers l’engagement« , Quinoa, juin 2011.
[/highslide]]
Parce que la sensibilisation, pour Oxfam-Magasins du monde, passe avant tout par les rencontres, les petits déjeuners constituent plus de 180 occasions de sensibilisation.[[highslide](6;6;;;)
Au sein du mouvement, chaque bénévole s’engage à diffuser les valeurs et campagnes d’Oxfam. (cf. Kit d’accueil du candidat bénévole) Certains bénévoles, appelés sensibilisateurs, prennent en charge des animations.
[/highslide]]

Sensibiliser qui et à quoi ?

Si nous nous référons aux enquêtes réalisées lors des dernières éditions des petits déjeuners, près de 2/3 des participants sont des habitués (des petits déjeuners, d’Oxfam-Magasins du monde : magasins, produits). La sensibilisation de ce public déjà convaincu doit dès lors les inviter à aller plus loin dans leur démarche de changement : donner envie à ces habitués de devenir eux-mêmes multiplicateurs des valeurs qui guident leurs comportements. Elle portera sur les pistes d’action possibles : inviter leur entourage proche et lointain aux petits déjeuners, parler de la thématique de campagne autour d’eux, diffuser les alternatives mises en place par les partenaires d’Oxfam–Magasins du monde, faire signer une pétition, etc.
Quant au 1/3 restant, si nous considérons qu’il s’agit de personnes qui se sentent moins concernées, la sensibilisation leur donnera les moyens d’amorcer une réflexion critique (qu’ils développeront par la suite, par eux-mêmes, en repassant par le magasin, etc.). « Bien que la sensibilisation ne permette pas d’approfondir les causes des injustices, elle constitue un premier pas vers la prise de conscience des mécanismes qui sous-tendent les injustices.« [[highslide](7;7;;;)
« Éducation au développement : Manuel pour accompagner les citoyens vers l’engagement« , Quinoa, juin 2011.
[/highslide]]
« Oxfam, bien qu’elle doive en partie sa notoriété à son activité de commerce équitable (voire, de manière moindre, à celle de vente de produits de seconde main), reste également vue comme une organisation militante, politique, qui combat les injustices dont sont victimes les pays du Sud. On lui reconnait une capacité d’indignation, et une capacité à mobiliser les citoyens dans des campagnes ou des actions publiques.« [[highslide](8;8;;;)
« Rapport général d’exécution 2007-2011 et plan quinquennal 2011-2017, Programme d’éducation permanente 2012-2016, Partie 3, Axe 4 : Sensibilisation et information« , Oxfam-Magasins du monde, juin 2011.
[/highslide]]
C’est pourquoi, même si de manière prosaïque, les participants viennent pour manger avec leur famille, des ami-e-s, les voisins, … on peut s’imaginer qu’ils s’attendent à être interpellés.

C’est quoi la convivialité ?

Le terme convivial peut être défini comme suit[[highslide](9;9;;;)
Source : http://fr.wiktionary.org
[/highslide]] :

  • Qui suscite des relations agréables, favorables parmi les membres d’un groupe ;
  • (Spécialement) Relatif au repas ;
  • (Sociologie) Se disant d’un outil en particulier, selon Ivan Illich[[highslide](10;10;;;)Penseur de l’écologie politique : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ivan_Illich [/highslide]], au service de l’être humain, à dimension humaine.

Les deux premières définitions sont donc directement liées aux objectifs des petits déjeuners tels que définis par Oxfam-Magasins du monde.
Concernant la troisième, sans avoir lu tout Illich, cette définition du terme convivial ne peut qu’attirer notre regard. En effet, d’après Illich, les outils[[highslide](11;11;;;)
« Le terme d’outil est utilisé ici dans un sens très large, c’est-à-dire tout instrument, objet ou institution mis au service d’une intentionnalité ou comme moyen d’une fin (tournevis, téléviseur, usine de cassoulet, autoroutes, langage, institution scolaire, permis de construire, lois, etc.). » http://fr.wikipedia.org/wiki/Outil_convivial
[/highslide]] deviennent non conviviaux dès qu’ils franchissent certains seuils. Le premier seuil est ainsi franchi quand on prend le moyen pour une fin et que la mesure statistique de l’efficacité devient le seul but. Or, le taux de participation aux petits déjeuners est considéré comme un critère de réussite, tant pour les équipes organisatrices que pour Oxfam-Magasins du monde[[highslide](12;12;;;)
Oxfam-Magasins du monde demande aux organisateurs d’envoyer par sms le chiffre de participation avant 16h le dimanche des petits déjeuners afin de communiquer le résultat à la presse.
[/highslide]] .
Cet éclairage est à garder en tête tant au moment de la fixation des objectifs par les organisateurs (Pourquoi faire un petit déjeuner cette année ? Que et qui visons-nous ? Qu’allons-nous faire lors du petits déjeuners ?), qu’à l’heure des bilans pour Oxfam-Mdm (Avec quoi le public est-il reparti, en termes de savoirs, savoir-faire, savoir être? Quel public a été touché ?). Le nombre de participants constitue donc un indicateur de la réussite de l’événement parmi d’autres.
Sans transformer deux expériences en vérité générale, voici deux exemples qui corroborent l’importance d’un petit déjeuner Oxfam à taille humaine :

  • Un événement totalisant habituellement plus de 700 participants en a réuni 500 en 2013. La déception passée, l’évaluation a mis en lumière une meilleure ambiance. En effet, en 2012, l’organisation avait été compliquée et la sensibilisation absente car l’ensemble des bénévoles avait été réquisitionné pour la logistique.
  • Un événement se tenant dans un grand hall a vu son nombre de participants chuter en 2013. L’équipe a pris le temps de faire une évaluation approfondie : comment sommes-nous organisés ? Qui visons-nous ? Que proposons-nous ? Résultat : l’équipe organisera en 2014 deux petits déjeuners (à la place d’un événement unique), dans une salle plus petite, avec l’intention de rendre ces événements plus chaleureux.

Nommer la tension pour imaginer des possibles

Le contexte étant maintenant posé, relevons une tension fondamentale : Oxfam-Magasins du monde envisage ces événements comme des lieux de sensibilisation, durant un week-end phare de campagne. Les petits déjeuners sont d’ailleurs valorisés dans le cadre de nos activités d’éducation permanente[[highslide](13;13;;;)
Oxfam-Magasins du monde est reconnue comme mouvement d’éducation permanente, subventionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles.
[/highslide]]. Cette vision est loin de faire l’unanimité du côté des organisateurs. Nombreux sont ceux qui voient la sensibilisation comme un frein à la convivialité ou qui n’y croient plus :

Les gens ne viennent pas pour cela, cela ne marche pas.

Comment Oxfam-Magasins du monde peut-elle transformer cette tension en défi et imaginer d’autres possibles ?

  • En clarifiant ses attentes par rapport à la sensibilisation lors des petits déjeuners : quid d’un petit déjeuner où la sensibilisation finirait par être facultative (réduite à une peau de chagrin) ou un bonus (la cerise sur le gâteau du « si on a le temps ») ?
  • En démystifiant la sensibilisation vis-à-vis des organisateurs[[highslide](14;14;;;)Il existe une sensibilisation pour tous les goûts, notamment par petites touches. Pas besoin de sortir le grand jeu directement. Cf. Souk d’idées pour sensibiliser.[/highslide]]. Néanmoins, Oxfam-Magasins du monde doit être claire sur ce que cette sensibilisation peut impliquer : du temps (préparation et jour j) et/ou des moyens (matériel, ressources humaines).
  • En soutenant les équipes grâce à de l’accompagnement (mettre en confiance les équipes), des outils et une formation[[highslide](15;15;;;)À cette fin, Oxfam produit des affiches, un dépliant de campagne, des brochures d’information, des outils pédagogiques, etc. En 2014, la formation « Animer des activités de sensibilisation » et le « Souk d’idées pour sensibiliser » ont pour objectif de renforcer les participants en vue des pdj. [/highslide]]. Par exemple, en les informant sur ce qui a été fait en termes de sensibilisation : tant les succès que les essais-erreurs,c’est-à-dire diffuser les bonnes pratiques.
  • En reconnaissant la grosse machine logistique que représente un tel type d’événement (la sensibilisation est un élément constitutif d’un petits déjeuners mais pas le seul).
  • En valorisant les bénévoles sensibilisateurs parfois esseulés au sein de le leur équipe pour rendre légitime la sensibilisation lors des petits déjeuners .

Mais, si la sensibilisation lors d’un événement convivial ne fait pas sens auprès des organisateurs, voire est perçue comme une obligation, elle ne sera pas appropriée[[highslide](16;16;;;)
C’est-à-dire construite en fonction du public visé, des objectifs fixés.
[/highslide]]. Et, au final, elle sera certainement évaluée négativement. La boucle étant bouclée, circulez, il n’y a personne à sensibiliser !
D’où, relever ce défi demande de la part des équipes de :

  • Considérer la pluralité des publics présents : 2/3 sont des habitués. Ils conçoivent certainement Oxfam comme une organisation militante, tout en venant aux petits déjeuners pour prendre le temps de s’attabler et discuter avec amis, famille, voisins… Mais alors pourquoi pas aussi un peu avec nous ? Parce qu’il s’agit de convaincus, il sera plus intéressant d’aborder la campagne et non le commerce équitable en général, ou encore de profiter de leurs expériences cumulées pour avoir leur regard sur ce qui passe lors des petits déjeuners. Quant au 1/3 restant, titiller leur curiosité et leur donner envie de revenir nous voir sont des objectifs réalistes que nous pouvons nous fixer.
  • Tenter de toucher des nouveaux publics pour lesquels le commerce équitable est plus éloigné de leurs préoccupations, afin d’éviter d’être uniquement dans l’entre soi. Au moment de la promotion, cela demandera de passer par des relais locaux. Ici, le rôle de l’équipe au sein du tissu communal associatif sera primordial.
  • Prendre la sensibilisation comme objectif à part entière des petits déjeuners sans obligation de résultats, mais bien de moyens. Accepter de tester et que cela ne puisse être quantifié, etc.
  • Reconnaître le temps et l’énergie investis par les bénévoles qui prennent cette responsabilité-là comme partie intégrante des éléments d’un petit déjeuner Oxfam.

Cette analyse ne doit pas occulter les expériences positives de certains organisateurs, la créativité et l’envie de certaines équipes locales. Oxfam-Magasins du monde doit donc regarder la tasse à moitié pleine (et non à moitié vide). Sans faire boire la tasse aux organisateurs en prodiguant des intentions, sans donner les moyens d’y arriver.
Et les équipes doivent retrouver un regard positif (« yes we can ») sur la sensibilisation, afin que les expériences négatives ne phagocytent pas l’ensemble, avec pour conséquence l’abandon de la sensibilisation lors des petits déjeuners.

Créer ensemble un souk d’idées

Très concrètement, en août 2014, un « souk d’idées »[[highslide](17;17;;;)
Ce document est téléchargeable sur le sésame et le site Internet www.omdm.be dans la partie dédiée aux petits déjeuners Oxfam des 11 et 12 octobre 2014.
[/highslide]] a été envoyé aux organisateurs pour s’emparer de la sensibilisation lors des petits déjeuners. Il s’agit d’un ensemble de suggestions que les organisateurs peuvent associer les unes aux autres, en fonction de leurs objectifs. Cet outil pourrait être enrichi des expériences de terrain, année après année. Voici quelques extraits :

  • Au stand de vente, au buffet, aux tables, etc. Engager le dialogue à partir des produits dégustés. S’il y a dialogue sur le produit, le partenaire, les aspects politiques[[highslide](18;18;;;)Ex. : impacts du commerce équitable pour le partenaire ; rôle du partenaire dans la communauté dans laquelle il est impliqué ; enjeux défendus par le partenaire dans son pays ; la manière dont fonctionne le partenaire,généralement structuré en coopérative, en fédération, en regroupement, etc.[/highslide]], il y a sensibilisation.
  • À proximité ou sur les pots, les bouteilles, etc. écrire des phrases suscitant l’intérêt et/ou bousculant les idées reçues. Ex. : à côté du sucre de canne bio « Je pollue moins qu’un sucre de betterave européen » ; à côté du chocolat « Garanti sans esclavage des enfants », etc.
  • Placer un panneau près du stand, du buffet, de l’accueil, etc. avec une phrase interpellante. Ex. : que consommez-vous trop ?; Racontez la dernière fois que vous vous êtes senti-e solidaire ; L’agriculteur, une espèce en voie de disparition ? Etc. Et inviter les participants à inscrire leur réponse. Au fur et à mesure, les participants voient les réponses des uns et des autres, s’arrêtent pour les lire, et voilà une occasion de discuter entre participants !
  • Programmer une animation et annoncer les heures à l’accueil et au buffet.

En conclusion, s’il n’y a pas de recette miracle pour sensibiliser lors d’un événement convivial, Oxfam-Magasins du monde reste convaincu de la disponibilité du public à discuter des enjeux défendus par Oxfam, à écouter des informations plus détaillées sur nos partenaires –même pendant quelques minutes- autour d’un petit déjeuner qui fait sens. Oxfam-Magasins du monde doit, en même temps, donner confiance aux organisateurs dans leur capacité à sensibiliser, avec des ingrédients bien à eux.
Avec cette analyse, Oxfam-Magasins du monde a comme objectif d’amener le sujet de la sensibilisation sur la table, non seulement des organisateurs lors des rencontres préparatoires, mais aussi des participants le jour de l’événement, évidemment !
Anabelle Delonnette
Coordinatrice des sensibilisateurs
Service Mobilisation Adultes

Bibliographie

  • « Manuel pratique pour votre petit déjeuner 2014 », Oxfam-Magasins du monde, mai 2014.
  • « Education au développement : Manuel pour accompagner les citoyens vers l’engagement », Quinoa, juin 2011
  • « Rapport général d’exécution 2007-2011 et plan quinquennal 2011-2017, Programme d’éducation permanente 2012-2016», Oxfam-Magasins du monde, juin 2011.
  • http://fr.wiktionary.org
  • http://fr.wikipedia.org/wiki/Ivan_Illich